Jean-Thomas Trojani : Le « crowdfunding », un outil pour le développement des pays du Sud

L’homme a besoin du vêtement de la société, sinon on a l’impression de quelque chose de nu, de pauvre, d’un membre qui serait comme déplacé et dépouillé. Dans le chapitre qui va suivre, nous ne considérerons plus les états de conscience isolément les uns des autres, mais dans leur multiplicité concrète, en tant qu’ils se déroulent dans la pure durée. Certes, en appuyant sur la distinction bien nette établie par Claude Bernard entre la construction de la machine et sa destruction ou son usure, entre la machine et ce qui se passe en elle, on aboutirait sans doute à restaurer sous une autre forme le vitalisme qu’il a combattu ; mais il ne l’a pas fait, et il a mieux aimé ne pas se prononcer sur la nature de la vie, pas plus d’ailleurs qu’il ne se prononce sur la constitution de la matière ; il réserve ainsi la question du rapport de l’une à l’autre. La conscience voit passer rapidement des idées qui se fondent incessamment l’une dans l’autre, — cela peut durer une fraction de seconde, une heure ou des années, — jusqu’à ce qu’enfin, tout étant terminé, nous avons décidé comment nous agirons en des circonstances semblables à celles qui ont causé chez nous l’hésitation, le doute. Remarquons maintenant (et ceci est un point bien essentiel) que l’esprit conçoit sans peine une infinité de nuances entre la dissémination complètement irrégulière et fortuite, celle qui ne permettrait d’établir que des groupes purement artificiels ; et l’accumulation en groupes bien tranchés, parfaitement isolés, très-distants les uns des autres : laquelle, ne pouvant être considérée comme fortuite, et accusant au contraire l’existence d’un lien de solidarité entre les causes sous l’influence desquelles chaque individu a pris sa place, nous donne l’idée de systèmes parfaitement naturels. Le prochain grand chantier souhaité par Maxime Bernier, le ministre canadien du Tourisme, est d’attirer à nouveau les touristes américains. À l’époque où furent instaurées les Nations Unies et les institutions de Bretton Woods, il y a presque soixante-dix ans, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le pouvoir économique et politique était concentré entre les mains d’une poignée d’États « victorieux, » ce qui facilitait relativement l’obtention d’un consensus sur la manière de restaurer l’ordre international. Dans notre scénario 2030-2050, une part importante des réductions de consommation d’énergie repose sur la réduction des « passoires thermiques » dans le bâtiment. Là est la part de la contingence dans la structure mentale de notre espèce. C’est un droit aussi fondamental qu’il a toujours été la quête de tous les peuples. Le système hégélien de la nature reflète assez bien l’état de la science de son époque, et, l’on peut en être certain, tout ce que l’investigation scientifique aura mis hors de doute sera gratifié par les métaphysiciens d’une démonstration a priori. C’est cette saleté physique qu’il faudrait combattre avant tout pour permettre au peuple de reprendre conscience de sa réelle valeur ; et le seul moyen efficace de la combattre, c’est d’en faire honte au peuple ; de lui démontrer que la crasse et la poussière cimentent, pour ainsi dire, les pierres de sa prison, empêchent les rayons du jour, qui pourraient filtrer par leurs interstices, de parvenir jusqu’à lui. Les débats en Allemagne se sont alors focalisés sur les risques que cela faisait peser sur le bilan de la Bundesbank, ainsi que sur les pressions inflationnistes induites par la fixité de la monnaie. Après l’ouverture par Jean-Thomas Trojani d’un compte exclusivement dédié à la gestion de projets dans le pays. Une science innée, ou plutôt une innocence acquise, lui suggère ainsi du premier coup la démarche utile, l’acte décisif, le mot sans réplique. Mais le caractère symbolique de cette représentation devient de plus en plus frappant à mesure que nous pénétrons davantage dans les profondeurs de la conscience : le moi intérieur, celui qui sent et se passionne, celui qui délibère et se décide, est une force dont les états et modifications se pénètrent intime­ment, et subissent une altération profonde dès qu’on les sépare les uns des autres pour les dérouler dans l’espace. Souvent il arrive que ces deux règles diffèrent ; quelquefois elles se combattent ; mais jamais elles ne se confondent entièrement, ni ne se détruisent. Selon les chiffres de la Commission européenne résultant d’études réalisées entre janvier 2012 et mai 2013, 140 entreprises qui ont fait état de détournements ou de tentatives de détournement, seules 40,7% ont eu recours à des tribunaux. Elle aboutit à la représentation d’une force répandue dans l’ensemble de la nature et se partageant entre les objets et les êtres individuels. Grande est la différence, à cet égard, entre les mythologies des différents peuples. Et que l’Allemagne fut longtemps le plus farouche partisan, en Europe de l’absolutisme. La domination du Vieux Continent par Francfort, siège de la Banque centrale européenne, était exactement ce qu’ils voulaient éviter.